23avril 2016 carnaval parc Borelly

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

je ne suis pas la seule à aimer ma ville!!!!

« C’est à Marseille que je m’arrêtai d’abord. Tous les matins, j’allais prendre les bains de mer au Château-Vert, et j’apercevais de loin en nageant les îles riantes du golfe. » Gérard de Nerval
...

« Marseille sortie de la mer, avec ses poissons de roche, ses coquillages et l’iode,
Et ses mâts en pleine ville qui disputent les passants,
Ses tramways avec leurs pattes de crustacés sont luisants d’eau marine,
Le beau rendez-vous de vivants qui lèvent le bras comme pour se partager le ciel. » Jules Supervielle
« Naître à Marseille n’est jamais un hasard. Marseille est, a toujours été, le port des exils, des exils méditerranéens, des exils de nos anciennes routes coloniales aussi. Ici, celui qui débarque un jour sur le port, il est forcément chez lui. D’où que l’on vienne, on est chez soi à Marseille. Dans les rues, on croise des visages familiers, des odeurs familières. Marseille est familière. Dès le premier regard. » Jean-Claude Izzo
« Il lui rappela joyeusement, quand les rougets grillés parurent, un déjeuner qu’ils avaient fait ensemble à Marseille, autrefois. Ah Marseille, la seule ville où l’on mange ! » Emile Zola
« On sait que Marseille du temps de Cicéron et d’Agricola, était appelée l’Athènes des Gaules. » Chateaubriand
« Là, sur des bords couronnés d’oliviers,
On voit les tours de Marseille l’antique,
Beau monument d’un vieux peuple ionique. » Voltaire
« Marseille est une ville… dans son port tout hérissé d’une forêt de mâts, on trouve le Musulman, l’Indien, etc… Marseille est tout l’univers… elle a toujours été florissante. » André Chénier
« Tartarin rayonnant, marchait, regardant de tous ses yeux ce merveilleux port de Marseille qu’il voyait pour la première fois, et qui l’éblouissait. » Alphonse Daudet

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« Et toi, Marseille, assise aux portes de la France, comme pour accueillir ses hôtes dans tes eaux. » Alphonse de Lamartine


« Je seconderai Marseille de tous mes efforts dans la grande impulsion qu’elle va donner. » Mirabeau
« La république de Marseille n’éprouva jamais ces grands passages de l’abaissement à la grandeur. » Montesquieu
...

« J’ai une idée si agréable de Marseille que je suis assurée que vous n’avez pas pu vous y ennuyer. » Madame De Sévigné
« Je suis en train de peindre avec l’entrain d’un Marseillais mangeant la bouillabaisse, ce qui ne t’étonnera pas lorsqu’il s’agit de peindre de grands tournesols. » Van Gogh
« Si Napoléon avait occupé l’Allemagne avec des Marseillais, la face du monde eût été tout autre. » Emil Michel Cioran
« Marseillais : tous gens d’esprit. » Gustave Flaubert
« Dans le monde entier, mon cher Panisse, tout le monde croit que les Marseillais ont le casque et la barbe à deux pointes, et qu’ils se nourrissent de bouillabaisse et d’aïoli, en disant « bagasse » toute la journée. » Marcel Pagnol
« Je suis convaincu que Marseille est la plus belle ville de France. Elle est tellement différente de toutes les autres. » Arthur Schopenhauer
« Le séjour à Marseille m’a formé le caractère. Je suis disposé à prendre tout en gai et je guéris de la mélancolie. » Stendhal
« En face de moi, je voyais cette magnifique Marseille, cette ville du Midi par excellence. Elle est placée au fond d’un amphithéâtre formé par des rochers arides comme tous ceux de la Provence. » Stendhal

 

 

 

Du ciel à la mer, ce n’était qu’une infinie variété de bleus. Pour le touriste, celui qui vient du Nord, de l’Est ou de l’Ouest, le bleu est toujours bleu. Ce n’est qu’après, pour eu qu’on prenne la peine de regarder le ciel, la mer, de caresser des yeux le paysage, que l’on découvre les bleus gris, les bleus noir, et les bleus outre-mer, les bleus poivre, les bleus lavande. Ou les bleus aubergine des soirs d’orage. Les bleus vert de houle. Les bleus cuivre de coucher de soleil, la veille de mistral. Ou ce bleu si pâle qu’il en devient blanc
Marseille est ville de lumière. Et de vent. Ce fameux mistral qui s’engouffre dans le haut de ses ruelles et balaie tout jusqu’à la mer
Jean Claude Izzo

arapede

tous les minots marseillais connaissent les arapedes,ce petit coquillage au ch^apeau pointu, collé sur les rochers à fleur d eau

quand j etais petite on les mangé, on ne parlait pas de polution,mais ça...c etait avant.....

quand une personne est un peu trop collante on la traite d arapede!!!

la bonne mere http://madeinmarseille.net/3045-visite-yeux-statue-vierge-…

Marseille et son ascenseur qui marchait à l'eau .Ancien funiculaire de Notre Dame de la Garde - construit en 1892 par la société EIFFEL- fonctionne jusqu'en septembre 1967. Par la suite la gare de départ, la rampe et la passerelle sont démolies.

 

Marseille , 1890, on voit à gauche de la Bonne Mère, l'ascenseur et son accès

le telescahe de Callelongue

https://www.youtube.com/watch?v=UPrPz5l5HJI&feature=share

ma belle Marseille!!

https://www.youtube.com/watch?v=DJ3CfepXUE4&list=RDDJ3CfepXUE4



https://www.youtube.com/watch?v=OWiBBrod9wM&index=23&list=RDDJ3CfepXUE4

Marseille en guerre

http://archivesexpos.marseille.fr/r/10/documents/

23mars 4avril 1871 la commune de Marseille

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://www.commune1871.org/?La-Commune-de-Marseille-23-mars-4

Plusieurs villes se soulevèrent à l’annonce de la révolution du 18 mars à Paris et proclamèrent à leur tour la Commune comme Le Creusot, Limoges, Lyon, Marseille, Narbonne, Saint-Etienne et Toulouse. Lyon se souleva la première, mais la plus longue et la plus puissante de ces insurrections eut lieu à Marseille (23 mars-4 avril 1871) et se termina par une répression sanglante qui fit 150 morts. C’est donc par la cité phocéenne que nous commençons cette série d’articles consacrée aux Communes de province.
Sous le Second Empire, Marseille connaît un essor sans précédent. Le nouveau bassin de la Joliette, le développement de la navigation à vapeur et l’ouverture du canal de Suez en font la porte de l’Orient et le vestibule de l’Algérie.
Parallèlement, la ville se hérisse de monuments : palais Longchamp, palais de la Bourse, palais de justice, préfecture, palais du Pharo offert à l’impératrice Eugénie, où sera fusillé Gaston Crémieux, et basilique Notre-Dame-de-la-Garde, d’où le général Espivent bombardera la Commune. 8 000 chômeurs sont employés à la construction de la Corniche pour les éloigner des barricades.
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